En déféquant sur lui le 24 juillet 2013, Traoré Abdoulaye, âgé de trois ans ne savait pas qu’il venait de signer son arrêt de mort. Ce, jour-là, la seconde épouse de son père, dame Sawadogo appelée affectueusement "Sali" se rend à la Mosquée et confie l’enfant de sa rivale à ses voisines.

L’enfant adultérin dont la mère ne vit pas avec le père va déféquer sur lui. Informée par ses voisines à son retour du lieu saint, Dame Sali va rentrer dans tous ces états. Elle qui n’avait jamais apprécié la présence du fiston dans la cour conjugale va trouver ce prétexte pour assouvir sa sale besogne.

Sans chercher à comprendre elle s’enferme avec enfant et elle se met à taper la tête de l’enfant contre le mur. Très mal en point, le jeune Traoré Abdoulaye va rendre l’âme. Pour toute information, elle indiquera à son époux, Traoré Ali, un jeune ivoirien âgé de 27 ans électromécanicien que l’enfant est malade.

Suite à ce crime crapuleux, Dame Sali s’engouffre dans un taxi-compteur avec le cadavre de l’adolescent ainsi que la voisine pour rejoindre le père de l’enfant au grand carrefour de Koumassi. Une fois à trois, ils décident d’enterrer le corps du nourrisson tard la nuit au cimetière de Williasmville, avec la complicité des gardiens des lieux.

Après l’acte odieux et criminel ils seront arrêtés trois plus tard par les fins limiers de la police.

Roselina manou.