Partout, le viol est d’actualité. Cette fois-ci, c’est un homme d’affaires chinois au Zimbabwe qui aurait violé sa femme de ménage de 17 ans pendant des mois après avoir promis de l’emmener en Chine.
Li Qiang, 61 ans, n’a pas été invité à plaider lorsqu’il a comparu devant le magistrat de Harare, Judith Taruvinga, qui l’a placé en détention provisoire.
L’État allègue que les abus ont commencé en septembre de l’année dernière. L’État affirme qu’un jour, vers 7 heures du matin, la requérante nettoyait la chambre de Li quand il est entré et a verrouillé la porte. Dans la chambre, il l’a poussée sur le lit et lui a dit qu’il voulait avoir des relations sexuelles avec elle. Le tribunal affirme qu’elle avait refusé.
Selon les documents judiciaires, Qiang a promis d’emmener la plaignante en Chine avant de lui enlever ses vêtements de force et de la violer sans protection. Le tribunal dit aussi qu’après l’incident, il avait demandé à la plaignante de rester à sa résidence.
Une nuit, elle a refusé d’ouvrir la porte et il a menacé de la renvoyer de son travail si elle ne s’exécutait pas. Suite à cet incident, il l’a violé à différentes occasions. L’affaire a été révélée lorsque la plaignante a rendu visite à sa grand-mère et lui a raconté ce qui s’était passé.
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